En septembre 2019, est intronisé Citoyen d'honneur de la ville de Rocamadour
En 2014 son premier roman "Quand les singes se prennent pour des dieux" est couronné Lauréat du "Prix de la ville de Mazamet" .
Il publie "Tant de silences" qui malgré un accueil timide de la part du grand public sera applaudi sur la scène internationale.
Salué par de nombreuses revues littéraires, ses écrits décrivent de manière imagée, les gens, les rues et les villes de son pays.
En 2015, il adapte quelques textes du chanteur flamand "Lieven Taverniers".
Cependant si Philippe De Riemaecker écrit c'est avant tout en qualité de chroniqueur. Ses articles dont repris sur de nombreux supports médiatiques.
Rédacteur en chef de la revue "Babel - Art", il animait l'émission "les fruits de ma passion" sur Radio Passion 106.5 fm avant des s'éloigner pour un verre d'eau.
il participe régulièrement aux émissions de RCF Bruxelles et RCF Sud Belgique.
Chroniqueur littéraire pour Chouette magazine & Blastings news, il collabore de façon ponctuelle au journal La Montagne Noire dans le Tarn ainsi que de nombreuses revues francophones.
Animateur sur PTV, on le rencontre à travers toute la Francophonie qu'il parcourt chaque année pour découvrir de nouveaux talents.
Membre de l'AEB - association des écrivains belges de langue Française
Membre de l'AREAW - association royale des écrivains de Wallonie.
Membre de l'Association Culturelle du Tarn Sud et du Salon du livre de Mazamet.
Membre de la SABAM.
Chez-nous,
Il n’y a pas de falaise
Pour arrêter la mer
Il n’y a pas de silence
Pour déchirer le vent
Il y a juste la mer
Étendue sur le sable
Pas trop loin des Polders
De ses dunes sauvages
Qu’on y passe le temps.
D’y perdre, quelques amants.
Il y a surtout chez nous
Des hommes aux mains si grosses
D’arracher la sueur
Et de l’étendre aux gosses
Qu’ils en sont fiers dedans,
Et que l’eau des rivières
Se boit comme de la bière
Le samedi seulement
Juste pour un instant
Le temps, d’arrêter le temps.
Et puis,
Peut-on vraiment s’en faire
Quand il faut de la terre,
Sortir le pain des autres
Pour la femme, qu’on aime bien
Les mômes un peu chagrins
Les vieux déjà trop vieux
Qui survivent en silence,
Juste le temps d’attendre
S’il reste un peu de temps
Le temps de vivre encore.
Plus haut,
Qui remplace le ciel,
Un désert de torrent
Qui vous pleure dessus,
À vous mouiller le Coeur
Mais que l’on aime ainsi
Puisqu’il est du pays
Puisqu’il est né d’ici
Qu’il doit se sentir seul
À vous rester fidèle
À vous rester le même.
Etc...